20/10/2018

Après 24h de transport, quelques traversées au pas de course (le tour de la gare de Grenoble, des aéroports de Munich et de Toronto pour cause de tunnel fermé ou de correspondances courtes), on pourrait se sentir légitime d’espérer un peu de repos. C’est toujours avec une petite appréhension que l’on observe le carrousel des bagages après un vol ; quelqu’un a-t-il ouvert ou volé mon sac, s’est-il éventré, la correspondance a-t-elle suivi… le plus souvent sans suite, heureusement. Cette fois, c’est devant le tapis qui se vide sans trace de nos valises que l’on sent une petite tension monter, jusqu’à la confirmation apportée par un employé que nos bagages sont restés à Toronto. On devrait les recevoir par le vol du lendemain, doigts croisés et espoir réglé sur max.

C’est donc légers et au bout de deux heures de paperasses que nous retrouvons Alejandro et Ana Ruth en prenant enfin pied sur le sol salvadorien.

Joie des retrouvailles, bonheur d’un rêve qui se concrétise, entrain d’un projet qui démarre.

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